Tout part d’une question existentielle

À quoi ça sert de vivre vu toutes les épreuves que l’on traverse individuellement, dans notre environnement proche, ou encore quand l’on observe ce qu’il se passe dans le monde ? À quoi ça sert, ces épreuves ? C’est un événement personnel qui a propulsé Charlotte de Silguy sur une des réponses fortes à cette question et a participé à l’aider à trouver le sens de sa vie.

Coach alchimiste, Charlotte de Silguy nous aide à transmuter nos ombres en lumières et à transformer ce qui nous plombe en véritable trésor de vie.

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Un épisode transcendant qui fait bouger les lignes en donnant – enfin ! – du sens à nos épreuves et à notre vie.

Une conversation à écouter pour soi, d’abord, et, ensuite, à faire écouter à tous les parents de jeunes enfants autour de vous pour apporter la connaissance et l’expérience aux jeunes générations et changer les choses vraiment !

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Pendant 45 minutes, nous avons parlé :

• du sens de nos épreuves et disharmonies, issu des sagesses anciennes ;
• de l’opportunité que l’on peut voir dans l’autre ou toute situation qui ne nous convient pas, pour grandir en conscience ;
• d’une nouvelle voie d’éducation que l’on pourrait donner aux enfants, dès leur plus jeune âge, pour changer leurs réactions face aux épreuves qu’ils traversent, et traverseront ;
• de la différence entre les valeurs yin et yang, et de la loi de relativité entre les deux ;
• de ce qui est à l’origine d’une quête de sens, et ce qui permet de trouver le sens de notre vie ;
• de comment utiliser nos blessures dans leur version lumineuse et positive ;
• du mariage alchimique de nos dualités qui esquisse notre valeur ajoutée au monde ;
• et, bien-sûr, de sa vision de l’état de flow.

Et restez jusqu’au bout : cet épisode se termine par une méditation alchimique de 8 minutes proposée en direct par Charlotte de Silguy.

Retrouver notre juste voie avec le mariage alchimique !

Nous commençons à le comprendre : d’un événement douloureux ou difficile peut survenir quelque chose de bénéfique, et un accident de la vie (un divorce, un deuil, un licenciement…) nous met sur une autre voie. Une crise, un bouleversement, la maladie, nous invitent à prendre une tangente qui n’est pas forcément choisie mais qui s’avère finalement être la bonne pour nous. Ainsi, nos bonheurs peuvent prendre naissance dans quelque chose de douloureux.

Mais Charlotte de Silguy va plus loin que ça en transmettant ce qu’elle a découvert dans les sagesses anciennes : c’est à l’intérieur de ce qui nous pose problème que l’on va trouver des ingrédients clés de qui nous sommes vraiment et de notre juste voie à retrouver.

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“On ne peut pas se mettre en quête d’harmonie et l’atteindre, le comprendre, y goûter vraiment, si on n’a pas goûté à son exact opposé, c’est-à-dire la disharmonie, quelque soit la forme que ça prend.”

Ainsi, les souffrances que l’on vivait enfance vont générer des réactions plus ou moins conscientes qui vont nous faire aller quérir des facultés et des envies qui sont à l’opposée exacte de ce par quoi on a souffert.

Et comme le but du jeu, c’est d’aller chercher ces quêtes, ces aptitudes, si on est pas déjà dans notre voie d’incarnation, on va avoir des petits ennuis qui vont nous le rappeler.

Si on accueille ce qui ne nous convient pas, ça sera plus fluide !

En occident, quand quelque chose ne nous convient pas, on boxe, on combat, et ça crée des bobos et une résistance d’autant plus forte que l’on s’y oppose. Au contraire, dans les arts martiaux, on accueille l’adversité, on accompagne le mouvement et on en fait une force.

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“Depuis tout petit, on nous a éduqué à combattre ce qui ne va pas. Mais on peut très bien donner une autre éducation aux enfants dès leur plus jeune âge. 

Si on leur enseigne que, s’il y a une difficulté, ce n’est pas l’autre qui est coupable ou méchant mais que ça vient réveiller une blessure et que c’est bien d’en parler et de regarder ce que cette blessure a à nous dire… les choses pourraient vraiment changer. 

Ce n’est pas forcément une question de sagesse, c’est une question de connaissance et d’expérience.

Là où on peut, en revanche, parler de courage, c’est d’aller à contre-courant de ce qu’on nous a appris. C’est justement ce qu’on a à faire : nous dépouiller de ce qui ne nous convient pas et aller à l’encontre des dogmes et des cultures.”

C’est une chasse aux trésors !

“Notre graal, notre trésor est caché à l’intérieur de nous. La quête de lumière passe par une enquête de l’ombre.”

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La première étape, c’est faire la lumière sur l’ombre : si ça m’arrive et que ça fait mal, c’est qu’il y a quelque chose en souffrance à l’intérieur de moi qui demande à s’exprimer. Souvent, ce sont des blessures d’enfants analogues qui se reflètent à l’extérieur.

Ensuite, on peut aller un cran plus loin en se demandant quelle blessure en moi n’est pas transmutée dans sa version positive. Qu’est-ce qu’on a déployé comme talent en lien avec ça ? Et si la blessure est toujours là, c’est que nous devons aller plus loin là-dessus.

Et puis, il est question que l’on fasse un mariage alchimique de nos dualités dans leur version lumineuse. Il s’agit de transformer ce qui nous fait mal en quelque chose qui nous fait du bien. Et c’est ça qui va esquisser nos domaines de plaisir, nos talents et notre valeur ajoutée au monde.

Bonne écoute !