Stop, ça y est, j’arrête de penser, j’vais courir, j’vais marcher.

Mon obsession pour le nouveau disque de Ben Mazué s’immisce dans ce nouvel épisode.

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Pour beaucoup d’entre nous, nos émotions nous submergent, nos pensées tournent en boucle. Notre corps est souvent devenu douloureux, encombrant, maladroit, et nos émotions nous coupent de nos ressources personnelles.

Et même si cela y participe, aller courir ou marcher, n’est pas une solution durable pour conserver notre état de flow, notre équilibre intérieur. Alors, la question que je me suis demandé, c’est :

Et si c’était nos émotions elles-mêmes qui détenaient la clé de notre liberté ?

L’hypersensibilité est un don !

Oui, l’hypersensibilité est un don, une force, une chance de saisir le monde par nos sens et notre corps. Un don qu’il convient de comprendre pour pouvoir l’honorer !

Notre corps est d’ailleurs notre plus grand guide vers l’état de flow. Seulement, notre sensibilité est un langage que nous n’avons pas appris à décrypter.

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Quand nous réussissons à identifier une émotion, puis à la nommer, nous pouvons nous en faire une alliée. En fait, une émotion n’est toxique que quand nous l’ignorons.

Et se faire allié avec ses émotions,…

• c’est se réconcilier avec elles ;
• c’est comprendre qu’elles nous donnent l’opportunité d’écouter et d’entendre nos besoins profonds, les besoins de notre âme, de vérifier que nous agissons toujours en accord avec nos valeurs et selon notre chemin de vie ;
• et, c’est prendre conscience que, si nécessaire, elles tirent la sonnette d’alarme lorsqu’un événement entrave notre plénitude.

Bonne écoute !